Activité commerciale invisible dans l'Éducation nationale mais aussi dans les activités quotidiennes.
Ah oui, la télé vous parle du capitaine naufrageur, du pêcheur endormi pendant son quart (du skipper de haute mer aussi d'ailleurs), du marin étranger miséreux, du kayakiste naviguant dans les glaces, ou du photographe côtoyant les baleines, du navire de commerce récupérant (au grand dam des autorités parfois) des réfugiés naufragés. Pour le reste, quasiment rien.
Par ailleurs, les navires s'effacent progressivement du panorama, stationnant en des ports de plus en plus lointains, en des zones sécurisées isolées. Ils restent ainsi physiquement et moralement aussi inatteignables. Le lien se rompt avec les populations pour lesquelles il existe. Alors, autre solution ancienne, la remontée en puissance du pilotin. Avec un peu de bonne volonté et de savoir-faire, ne me dites pas que cette solution est impossible. Les financements importants existent pour la formation des jeunes, rémunération de stage, Erasmus, fonds régionaux, nationaux ou européens. Il y a de quoi négocier sans que les armements se sentent agressés dans leur bourse (et que de belles réunions de concertation en perspective). |
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